Notre Mission

La Scola propose à tou⸱te⸱s un chemin de communion à soi et à l’au-delà de soi, une vie communautaire saine contribuant à la construction de l’être, un accompagnement personnel et spirituel respectueux et professionnel, un apprentissage riche de l’art de mieux vivre, l’expérimentation de temps de méditation nourrissants et substantiels. Bref, La Scola, c’est une manière toute simple et abordable de partir ou repartir sa vie sur des bases solides et sûres, grâce à des méthodes éprouvées de croissance personnelle et spirituelle (axées sur la méthode PRH – Personnalité et Relations Humaines).

Nous souhaitons créer un large espace de communion à soi, à l’autre et à l’Absolu. Nous voulons œuvrer par notre école à transformer (en nous comme en l’autre) :

• l’anxiété en paix intérieure           • la confusion en certitude profonde            • le sentiment d’impuissance en moteur d’engagement.

• l’anxiété en paix intérieure      
• la confusion en certitude profonde
• le sentiment d’impuissance en moteur d’engagement.

Nous voulons rendre accessible à tou∙te∙s une réalité que l’humanité gagnera grandement à apprivoiser, une réalité que décrit très bien ici l’humoriste Léa Stréliski:

« Parfois, le spirituel n’est pas religieux. Le spirituel est juste cette dimension de la vie que l’on ne sait pas où mettre. Surtout dans un monde carré et capitaliste comme le nôtre : Le mystère. (…) On s’obstine à ne pas le voir. Parce que ça fait peur. L’immensité, ça rentre mal dans notre 9 à 5. Dans nos brassées de lavage. Personne ne nous oblige à nous promener en chasuble avec un troisième œil dans le front et à passer la journée à déambuler en nous faisant des câlins, mais il me semble qu’il nous manque un bout de nous. Que la honte du religieux et du spirituel est rendue loin et que chacun chez lui réfléchit maintenant à ça dans son coin. Parfois avec des cristaux dans les mains, parfois avec des croyances superstitieuses, parfois en priant secrètement. C’est très bien que l’on ait relégué tout cela à l’intime, mais il m’apparaît que lorsque l’on accepte le mystère, la vie devient plus joyeuse. On la sert mieux. Humblement. La quête d’un sens, aussi petit soit-il, semble assez inévitable chez l’humain, je pense qu’il est temps d’avoir moins honte de s’en parler. »